Home > Article scientifique > 17. A) The prevalence of potentially abusive behaviours in family caregiving: findings from a national survey of family carers of older people. B) Family Carers of Older People

17. A) The prevalence of potentially abusive behaviours in family caregiving: findings from a national survey of family carers of older people. B) Family Carers of Older People

/

17A) The prevalence of potentially abusive behaviours in family caregiving: findings from a national survey of family carers of older people. b) Family Carers of Older People.
17B) Family Carers of Older People: Results of a National Survey of Stress, Conflict and Coping.

Référence bibliographique

A) Lafferty, A., Fealy, G., Downes, C., & Drennan, J. (2016). The prevalence of potentially abusive behaviours in family caregiving: findings from a national survey of family carers of older people. Age and Ageing, 0, 1-5. doi.org/10.1093/ageing/afw085

B) Lafferty, A., Fealy, G., Downes, C., & Drennan, J. 2014. Family Carers of Older People: Results of a National Survey of Stress, Conflict and Coping. Dublin, Ireland: NCPOP, University College Dublin.

77 pages

Résumé

Cette étude nationale irlandaise examine la prévalence des comportements potentiellement maltraitants envers les personnes âgées à domicile de la part de membres de la famille. La recherche a eu lieu par questionnaire auprès des proches aidants.

Le premier document est un article présentant l’étude et ses résultats ; le second constitue le rapport-même de l’étude.

Quelques résultats

  • Plus d’un tiers des répondants (proches aidants) font état de comportements potentiellement maltraitants envers la personne âgée dont ils s’occupent.
  • Ces comportements potentiellement maltraitants concernent davantage la maltraitance psychologique que la maltraitance physique.
  • Des limites méthodologiques sont mises en évidence par les auteurs :
    • le fait que les proches aidants travaillant à plein temps ne soient pas inclus dans la recherche (car celle-ci s’adresse aux proches aidants qui reçoivent une allocation pour cette aide) ;
    • le fait que les cas de maltraitance les plus graves ne soient pas nécessairement mentionnés (non-déclaration ou non-participation des proches aidants qui en seraient auteurs).
  • Ces limites contribuent probablement à une sous-estimation de la prévalence de la maltraitance dans cette étude.

Implications pour la pratique

  • Les comportements potentiellement maltraitants de la part de proches aidants doivent être détectés tôt pour pouvoir mettre en place des interventions préventives et éviter une détérioration de la situation.

Mots-clés :

article scientifique – rapport – maltraitance – personnes âgées – domicile – proches aidants – Irlande